SIGNA­TURE, l’iden­tité olfac­tive du mudac

Sous une brise lumi­neuse, la berga­mote éclate en tête, une rencontre parfaite entre fraî­cheur et raffi­ne­ment. Elle laisse place à un cœur vibrant de néroli et de jasmin, formant un bouquet floral vibrant. Les notes de fond, un mélange envoû­tant de cash­me­ran et d’ambre blanc, apportent une chaleur enve­lop­pante, tel un voile déli­cat enve­lop­pant l’es­pace.

« J’ai imaginé le parfum Signa­ture du mudac comme une lumière fluide traver­sant les murs du musée, révé­lant chaque œuvre sous une clarté nouvelle. Tel un parcours senso­riel à travers ses expo­si­tions, des éclats vifs appa­raissent, accom­pa­gnés d’une douceur apai­sante. Les accords diffusent une chaleur enve­lop­pante, évoquant les subtils jeux d’ombre et de lumière qui carac­té­risent l’ar­chi­tec­ture contem­po­raine du musée, et capturent ainsi l’es­sence créa­tive et inspi­rante du lieu ».

Philippe K.

Pour accom­pa­gner la fragrance du mudac, l’ar­tiste Laurin Schaub a conçu une série exclu­sive de sculp­tures céra­miques façon­nées à la main qui permettent de diffu­ser lente­ment le parfum dans l’es­pace.

« Chaque pièce est une explo­ra­tion entre forme et matière. La céra­mique est colo­rée, façon­née à la main, émaillée puis décou­pée après la cuis­son. Avec ses surfaces à la fois orga­niques et tech­niques, l’œuvre devient le support d’un dialogue subtil entre inté­rieur et exté­rieur. Grâce à sa poro­sité, elle absorbe le parfum pour le diffu­ser lente­ment dans l’es­pace. Ce jeu se complète lorsque l’es­sence parfu­mée pénètre dans les pores de l’objet, mettant en valeur la couleur du maté­riau ».

Laurin Schaub